
Voici des exemples de sources de financements perdus, rencontrés tous les jours dans tous les établissements de santé, même ceux qui codent le mieux.
Pour la plupart de établissements, qu'ils soient publics ou privés, c'est trop compliqué et/ou trop chronophage de retrouver toutes ces situations et de les corriger une par une.


Des exemples pratiques de récupération des recettes
Séjours manquants
Impossible de se voir financer un séjour qui n'a jamais été envoyé à l'ATIH.
Que ce soit parce qu'il n'y a pas de courrier d'hospitalisation, que les personnes ne connaissent pas les codes ou par manque de temps, les séjours manquants constituent le principal manque à gagner. Comment les récupérer ?



Diagnostics manquants

Vos séjours sont longs, mal valorisés, ils sont codés dans les services par les professionnels de soins déjà très occupés, ou par manque de temps ou de connaissances : certains diagnostics associés de niveau 2 et plus peuvent ne pas être codés, et les séjours restent à un niveau de gravité bas, alors que des frais importants ont été engagés. Mais comment retrouver ces séjours ?
Diagnostics imprécis
Que ce soit pour le Diagnostic Principal ou les Diagnostics Associés Significatifs, l'imprécision fait perdre beaucoup d'argent. Comment trouver le bon code, le plus exact, et comment retrouver ceux qu'on peut encore changer parmi les séjours codés ?


Perte des suppléments
Actes manquants
Comment et par qui sont codés les actes CCAM classants, ceux qui font basculer le tarif du GHM, sont-ils tous bien là et est-ce que ce sont les bons ?

Vous avez une activité qui ouvre droit à des suppléments (surveillance continue, soins intensifs, réanimation...), êtes-vous sûrs que vous n'en perdez pas malgré des séjours remplissant tous les critères ?

Année précédente mal valorisée ou incomplètement envoyée
Appliquer nos contrôles qualité sur l'année précédente et les renvoyer via le logiciel LAMDA de l'ATIH spécifiquement prévu pour, permet de récupérer les recettes malgré le retard de dictée et/ou de codage
